Pourquoi nous ne sommes pas dans une simulation 2

J'avoue que j'ai pensé à toutes ces particularités, mais je ne crois toujours pas à la simulation.

1 s'il y a effectivement des équipes ou des joueurs individuels, car alors ils allaient choisir des systèmes de gouvernements défaillants comme la démocratie?

Ou parce qu'ils allaient prendre des décisions stupides qui ralentissent le développement de leurs pays? Si le but est de gagner, on suppose que les joueurs veulent le meilleur pour leurs personnages et qu’ils veulent gagner à tout prix.

2 S'il n'y a personne et que la simulation est excellente, je crois que tous les créateurs ne voudraient pas que nous découvrions cette vérité, mais comme nous pouvons le constater, cette théorie est omniprésente à l'heure actuelle.

3. Le rôle de notre Dieu dans cette simulation. Si en réalité nous sommes dans une simulation, le rôle de la conscience ne change pas du tout, après tout une simulation précise de la matière et de l'énergie, notre Dieu sera bientôt aussi présent dans le jeu.

En outre, les enseignements de notre religion sont encore si utiles à l’évolution humaine et à l’harmonie qui a réellement une origine divine. Après tout, notre religion va à l’encontre de tout le système de l’esclavage et du malheur. Cela va donc à l’encontre du but de la simulation elle-même qui, apparemment, ne semble pas se soucier de la souffrance des êtres humains.

4. Bien qu'il n'y ait aucune preuve à ce jour que nous soyons dans une simulation, cette théorie peut être utile en tant qu'analogie du fait que nous vivons dans un système prédéterminé. Par exemple, les lois politiques, les taxes, l'économie, la vie sociale, ce sont tous des systèmes que nous expérimentons tous les jours.

Ainsi, il est nécessaire de dessiner des buts, des buts et de jouer pour gagner au jeu de la vie. Quels sont tes rêves? Que devriez-vous faire pour les accomplir?

Ces questions sont nécessaires pour surmonter toutes les difficultés et les défis qui apparaissent à tout moment dans notre réalité.

Aisi ~



Ricardo Rangels ® ©